PRESSE ECRITE
A Villarlod, à vingt kilomètres de Fribourg, se cache l’une des dernières carrières de molasse de Suisse. Cette roche sédimentaire bleue et jaune utilisée avant l’arrivée du béton a servi à rénover la cathédrale Saint-Nicolas à Fribourg et le musée Chaplin à Vevey. Selon son propriétaire, les affaires se portent bien malgré la Covid. Serait-ce le retour en grâce de la molasse?
PDF 1.1Mo
-
AU GIBLOUX, LA MOLASSE N'A PAS DIT SON DERNIER MOT
-
AU GIBLOUX, LA MOLASSE N'A PAS DIT SON DERNIER MOT
-
AU GIBLOUX, LA MOLASSE N'A PAS DIT SON DERNIER MOT
-
AU GIBLOUX, LA MOLASSE N'A PAS DIT SON DERNIER MOT
-
AU GIBLOUX, LA MOLASSE N'A PAS DIT SON DERNIER MOT
HISTORIQUE
L'exploitation de la carrière de Villarlod a débuté aux environs des années 1880. Elle figure dans l'inventaire des carrières suisses de 1915.
A cette époque, elle était commercialisée sous la dénomination de "Molasse du Gibloux". Cet inventaire ne signale que l'exploitation de grès glauconieux de teintes bleuâtre et grise.
Au début du XXe siècle, le rendement annuel était de 1'500 m3, soit dix fois plus qu'aujourd'hui. La carrière employait alors entre 20 et 35 ouvriers, alors qu'une ou deux personnes y travaille actuellement. L'exploitation disposait déjà d'installations électriques, entre autre une scie et un fil hélicoïdal.
A cette époque, elle était commercialisée sous la dénomination de "Molasse du Gibloux". Cet inventaire ne signale que l'exploitation de grès glauconieux de teintes bleuâtre et grise.
Au début du XXe siècle, le rendement annuel était de 1'500 m3, soit dix fois plus qu'aujourd'hui. La carrière employait alors entre 20 et 35 ouvriers, alors qu'une ou deux personnes y travaille actuellement. L'exploitation disposait déjà d'installations électriques, entre autre une scie et un fil hélicoïdal.
-
Construction de l'église de Villarlod
-
Photo des employés de la carrière en 1915
-
Vue sur la carrière de Molasse de Villarlod (milieu gauche)
-
Photo aérienne de la carrière
